La Charte des APPO
- Détails
- Mis à jour le lundi 13 février 2023 22:37
Charte des Associations de Parents par Pays d'Origine ( Associations de parents ayant adopté des enfants à l'étranger)
PRÉAMBULE
Les associations signataires de la présente charte :
-
reconnaissent que, pour l'épanouissement de sa personnalité, l'enfant doit grandir dans un milieu familial, dans un climat de bonheur, d'amour et de confiance.
-
soulignent que si l'enfant ne peut pas grandir dans sa famille d'origine, l'adoption est le moyen de lui fournir un milieu familial où il pourra harmonieusement se développer.
-
déclarent que l'adoption internationale offre la possibilité de donner pour toujours une famille à un enfant pour lequel aucune solution familiale adéquate n'a pu être trouvée dans son Etat d'origine.
-
rappellent leur attachement indéfectible au respect des législations en vigueur tant dans le pays d'origine que dans le pays d'accueil des enfants.
Elles affirment que l'expérience et le vécu des parents ayant adopté des enfants à l'étranger sont irremplaçables dans toutes les instances traitant de l'adoption et à toutes les étapes de la démarche d'adoption.
C'est pourquoi ces parents se sont regroupés en associations spécifiques qui se réclament du terme générique d'Associations de Parents par Pays d'Origine (en abrégé A.P.P.O.).
Cette appellation implique une adhésion pleine et entière à la présente charte.
Adoption
Thématiques
Acteurs de l'adoption
Médiathèque
Actualités du web
-
Québec cesse temporairement l’ouverture de nouveaux dossiers d’adoption internationale avec les organismes agréés - Le Journal de Montréal
-
L’histoire sans fin de l’adoption en Chine - La Presse
-
Togo : Un pas de géant vers une adoption internationale plus sûre - Journal du Togo
-
“Adoption internationale : un scandale planétaire”, une enquête remarquable - Télérama.fr
-
“Adoption internationale, un scandale planétaire”, une enquête édifiante sur la marchandisation des enfants - Télérama.fr
-
« Adoption internationale, un scandale planétaire » : la colère des bébés volés - La Croix